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Mémoires d'un lit

16 juillet 2009

La critique de l'été

Secrets d'alcôve La vie d'un lit n'est pas un long fleuve tranquille, savez-vous ? Il lui faut d'abord naître, découvrir son identité, et enfin utiliser à bon escient l'influence qu'il peut avoir sur ses beaux endormis. Personnage principal et narrateur, Bonito - tel est le nom du lit, puisqu'il est espagnol - ausculte l'humain comme un entomologiste, les insectes. Il les scrute au plus près de leur intimité, en position allongée, donc sans défense, et finira forcément par en connaître l'inconscient. D'aventure en aventure, Bonito se révèle aussi poète, confident, mateur - évidemment - d'ébats plus ou moins amoureux. Tout cela est servi par une plume vive, riante et pleine de saveur, à déguster à l'heure de la sieste et à partager à l'apéro. Jeanne Thiriet pour Pleine Vie, août 2009
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1 juillet 2009

Festival du Livre de Mer et d'aventure

Les 12 et 13 juillet 2009 à Saint Vaast de la Hougue, dédicace… au saut du lit !
18 juin 2009

Ceux qui n'aiment pas…

Ne se sont pas encore exprimés… patience…
18 juin 2009

Celui qui adore…

"De mémoire de lecteur assidu, je n'avais pas pris autant de plaisir depuis des lustres. Original, remarquablement écrit, plein d'humour et d'émotions les plus diverses jusqu'aux larmes parfois (si,si) parsemé de grands éclats de rire, ce roman de Chantal Malignon est un pur chef d'oeuvre. Je crois que le dernier écrivain moderne qui m'ait donné autant d'émotions s'appelait car malheureusement il nous manque, Sébastien Japrisot. Avis aux amoureux des sensations et de la richesse de la langue, ne quittez plus votre lit." Wickelm sur Fnac.com
18 juin 2009

Ceux qui aiment sur Fnac.com…

"Une idée très originale, servie par un récit bien construit et une écriture fluide qui nous transmet une large palette d'émotions. On s'attache avec plaisir à ces personnages décrits sous un angle inhabituel (par leur lit) et on se passionne pour chaque génération. Une jolie lecture." Lana, mai 2009 “C'est tout ce que j'aime... Un style simple, sensible, poétique, drôle et tendre. Je ne connaissais pas cette auteur, mais je crois que je vais aller voir ce qu'elle a déjà écrit... Je crois que ce que j'aime le plus dans ce livre c'est qu'il ne se vante pas : il est discret, intelligent, généreux et silencieux. Il n'a pas besoin de crier son pitch. Et ça... c'est très précieux de nos jours." Kenavo sur Fnac.com, juin 2009 "Dès les premières pages, nous sommes entrainés par l'imaginaire, la poésie, et l'érotisme de ce livre. Un lit héros, il fallait oser ! Chantal Malignon possède un talent indéniable et qu'il faut absolument suivre. J'ai hâte de lire le prochain !!!" Nymo, juin 2009 "L'érotisme qui se dégage de ce livre vous fait tout de suite penser à des expériences que chacun d'entre nous a dû connaître. Mélangez un peu d'humour et de poésie et vous obtiendrez sur papier ce que Chantal Malignon met dans ses pièces de théâtre.Je me suis surpris à relire certains passages et à chaque fois je me laissais appréhender par ce "personnage" hors du commun qu'est ce "plumard". Si vous aimez vous faire caresser ou malmener, gardez cet ouvrage près de votre...lit." Gillou de Giverny, juin 2009 "Une belle épopée moderne qui nous fait traverser les cinquante dernières années de l'histoire sociale avec volupté... normal pour un lit, et tout cela écrit avec une langue superbement poétique et pleine d'humour, on finit par être amoureux de ce lit pas comme les autres qui nous comprend, qui nous analyse si bien, c'est rassurant plus besoin de prêtre, ni de psy, notre lit peut devenir notre confident si l'on sait y faire!!! N'oubliez pas d'ajouter dans vos bagages ce roman pour l'été, vous passeriez vraiment à coté d'un moment enchanteur, tout le monde a besoin de rêver, et Bonito nous donne le mode d'emploi!" Chaton, juin 2009
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18 juin 2009

La critique du mois de juin

Cette autobiographie d'un lit nommé Bonito (joli en espagnol) a la forme suave d'un conte érotique de Jean de La Fontaine. Tout y est : l'humour, la poésie, l'entrain, l'esprit libertin. Que ce livre soit le fruit d'une femme ajoute à sa tournure une lascivité galante qui fait tout son charme. Bonito sera jaloux des hommes qui le partagent avec ses maîtresses, dépositaires de leurs secrets d'alcôves. Soulevez la couverture et lisez-le au lit. C'est un livre de chevet. Jean-Michel Ulmann pour Impact Médecine
27 avril 2009

Première critique…

Objets inanimés avez-vous une âme, vous qui êtes les témoins privilégiés de la vie des hommes et qui traversez parfois les siècles ? Chantal Malignon, comédienne, auteur dramatique et romancière, explore, entre autres, cette déclinaison lamartinienne de la mémoire dans un roman éblouissant "Mémoires d'un lit". Un roman écrit à la première personne du singulier par un narrateur singulier, un lit, et comme l'homme passe au moins un tiers de son temps à dormir, ce témoin muet doué de conscience a bien des choses à découvrir et à raconter. Sans verser dans l'anthropomorphisme lénifiant ou ésotérique, Chantal Malignon donne la parole, ou plutôt la plume, à ce lit doté d'une conscience aigue de ce qui l'entoure et d'une forte personnalité au point de manfester sa présence et vouloir influer sur les rêves de ses dormeurs, et qui va connaître un destin mouvementé après des débuts picaresques, pour évoquer les destins croisés, les amours défuntes et les secrets de la vie. Son histoire commence de manière brutale, dans l'Espagne rouge et noire, par l'assassinat d'un chêne dans la jeunesse de son âge, qui heureusement ne connaîtra pas le triste sort du grand chêne de Brassens, avant la mise au monde par un rude ébéniste qui lui fera connaître les premières étreintes tumultueuses qui animent les humains. Car l'amour est au centre de ce lumineux roman au verbe poétique et romanesque, qui sait se colorer pour décrire l'exultation des corps et comporte des pages d'une éblouissante beauté, l'amour ce grand mystère que le lit cherche à comprendre au gré de ses occupants successifs. Il y aura la première, l'unique, l'évanescente et envoûtante Alicia, la douce qui lui apprit le français en lisant des romans à haute voix, les ruades de Pounette dans la France de mai 68 qui se révolte contre la vie de pauvre, la langueur d'Albert le jeune fils de bourgeois qui cacha dans son matelas sa trompette symbole d'un rêve abandonné, les amours plurielles de Mireille pour oublier un amour impossible. Et puis le dévoilement avec Jules et Marceline : "La révélation, l'amour, le vrai, le grand m'était offert par ces deux vieux.(…) L'amour venait de loin se jeter dans les yeux de l'autre et repartait grandi, se refléter partout". MM pour Froggy's Delight, avril 2009
31 mars 2009

C'est pour bientôt…

file_MALIGNON_MemoiresLit_1_“On revient toujours sur les lieux où l’on a abandonné ses rêves.” Un lit, qui s’est baptisé Bonito (« joli » en espagnol), raconte ses souvenirs, de sa naissance à Logroño en 1958 jusqu’à sa renaissance à Paris cinquante ans plus tard. Le roman débute par une mort. Celle du chêne qui capitule, dont le bois servira à la construction du lit. Dans l’atelier de l’ébéniste, le lit prend conscience de sa métamorphose et s’humanise. Il s’interroge sur sa nouvelle existence, subit des accouplements intempestifs, assiste à des rêves en direct, et s’émerveille d’abriter le sommeil de celle qui sera le grand amour de sa vie : Alicia. Le lit amoureux va connaître ses premiers tourments… Comment partager la dormeuse de sa vie avec un homme ? … ses premiers doutes, ses premières contradictions et son premier exil. Il déménage et échoue à Paris en mai 1968, en pleine guerre des pavés… Chaque secret est un rêve caché sous l’oreiller. Bonito découvre la complexité des hommes et tente de réveiller ce qu’ils essaient de taire. Il va devenir acteur, puis metteur en scène des rêves, convaincu qu’en aidant ses résidents à bien dormir, il va les aider à vivre. Evidemment, il se trompe. Parution le 17 avril 2009 aux Editions Fizzi
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Mémoires d'un lit
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